Ah les temps modernes… Le shopping n'est plus exclusivement lié aux files d'attente interminables, aux pieds en feu et au désespoir de ne pas avoir trouvé La paire de boots qu'il nous fallait absolument. En effet, le must du moment en matière de bottes se trouve sur le net ou en Amérique…Explications : les bottes que l'on veut en cette fin de mars, c'est les Loeffler Randall, marque américaine pas encore distribuée en France.
Certes les ballerines, les escarpins, les Converse, c'est sympa, mais rien ne remplace une paire de bottes. Le problème est que les modèles inondent le marché et qu'il est bien difficile de trouver celle qui allie sobriété et éclat, celle qui ira avec tout… Après plusieurs expéditions tous azimuts dans la capitale, des boutiques branchées d'Étienne Marcel au Marais en passant par les cavernes d'Ali Baba vintage, je reviens bredouille.
Tout est trop ou pas assez, il manque ce « je ne sais quoi » d'évident. En tout cas pas de coup de foudre, donc pas de bottes, enfin pas de nouvelles bottes… C'est en consultant un site made in US que je tombe enfin sur ce que je cherchais. En approfondissant les recherches, je me rends compte que tous les modèles de la marque sont irrésistibles.
Entrons dans le vif du sujet : Loeffler Randall. Cette griffe c'est le résultat du travail de Jessie Loeffler Randall et de Brian Murphy, associés et couple à la ville. Ils créent leur marque en 2005. Auparavant Jessie avait passé plusieurs années chez Banana Republic and Katayone Adeli, et Murphy est possesseur d'un award récompensant le travail artistique.
Néanmoins, tout débute doucement : leur premier catalogue est shooté dans leur appartement de Brooklyn où ils font porter leurs modèles à Roméo, leur chien… Le succès ne tarde pas à arriver, c'était inévitable ! Leurs créations sont un mix génial entre luxe et un art déco acétique. Les rédactrices de mode sont séduites, les stars se les arrachent, de la côte ouest à la côte est, on ne parle plus que de ça.
Le duo - Madame à la création, Monsieur au marketing - parvient à créer la chaussure parfaite pour une jeune femme chic et moderne. Un design net et minimaliste associé à d'étourdissantes matières : les collections capturent le style des années 80. Que dire de plus ? Que tous les modèles sonnent juste, que l'élégance peut rimer avec une inspiration rock and roll, que l'esprit vintage ne veut pas dire démodé et que le génie porte un nom : Loeffler Randall.
Alors si vous êtes de passage à New York ne ratez pas Bergdorf Goodman sur la 754 Fifth Avenue à la 57th rue, c'est la que la marque est distribuée… Et faites des économies, car la perfection a un prix : environ 600 dollars.
trop années 70'' et beaucoup trop chères, elles sont a 700 euros!!!
les semelles compensées je n'y crois pas trop, ça fait vite seventies qui n'a pas su s'adapter.. modèle trop improbable
mais je trouve le cuir tressé du deuxième modèle plutôt original :)
C'est vrai qu'elles sont parfaites : un design simple mais classe, un cuir de bonne qualité à priori. Je les aurais bien achetées je pense si elles n'étaient pas aussi chères, même si parfois je crois qu'il faut savoir mettre le prix quand on cherche de bonnes bottes. Les bottes parfaites ne se trouvent pas chez H&M ou Zara, c'est clair !
les semelles compensées je n'y crois pas trop, ça fait vite seventies qui n'a pas su s'adapter.. modèle trop improbable
mais je trouve le cuir tressé du deuxième modèle plutôt original :)